Totalement foudroyée par le premier confinement – en plein printemps ! – la filière horticole de Bretagne (Val’hor) appelle à l’aide. Elle a besoin de garanties sur la pleine capacité des circuits de commercialisation
pour ce prochain printemps. Il nous faut investir 500 millions d’euros tout de suite, sans savoir si cette future production ne sera pas, elle aussi, broyée demain, comme au printemps dernier…
plaide-t-elle. Lire la suite sur le site de Ouest France